Lundi 31 octobre la société de chimie BASF avait demandé à la Commission européenne l’autorisation de cultiver à des fins commerciales une pomme de terre génétiquement modifiée. Greenpeace estime que cette solution est une vision à court terme du problème du parasite du Mildiou. « Les OGM ne sont pas une réponse adaptée, c’est en mettant en place des moyens durables, comme la rotation des cultures, que des solutions de long terme seront trouvées », estime l’ONG dans son communiqué.