« Pour beaucoup de personnes dans les pays en développement et en Afrique, le changement climatique est une question de vie ou de mort », a souligné le président sud-africain Jacob Zuma, en clôture de la cérémonie d’ouverture.
« Des millions des gens, particulièrement dans les pays pauvres et en développement, dépendent de nos décisions », a rappelé Patricia Espinosa, qui a pris la parole la première en tant que présidente de la précédente conférence (Cancun, Mexique). Elle a ensuite laissé la parole à son homologue sud-africaine, Maite Nkoana-Mashabane, qui va présider cette conférence.
La conférence de Durban sur le cllimat commence aujourd’hui
