Les autorités de Pékin, suspectées de sous-estimer la dangerosité de la pollution atmosphérique, sont prêtes à adopter un nouveau système d’évaluation de la qualité de l’air, a rapporté aujourd’hui la presse officielle. La pollution de l’air dans la capitale chinoise a en effet atteint ce week-end un niveau « dangereux », selon l’ambassade des Etats-Unis. Ce stade de « dangereux » est le pire niveau de l’indice mis à jour en temps réel par l’ambassade des Etats-Unis à Pékin, qui calcule de façon indépendante le degré de pollution atmosphérique.