Le quotidien belge L’Echo a indiqué mardi qu’Elio Di Rupo, le chef francophone du parti socialiste qui mène les négociations en vue de la formation d’une coalition gouvernementale, voulait imposer une taxe d’un milliard d’euros par an sur l’industrie nucléaire. Electrabel, filiale de GDF Suez en Belgique, a annoncé mardi soir qu’elle envisagerait de fermer ses centrales nucléaires dans le pays plus rapidement que prévu si le gouvernement belge alourdissait la taxation.