Le chercheur français Gilles-Eric Séralini s’est dit mardi prêt à publier les données « brutes » qui lui ont permis de conclure à la nocivité d’un maïs OGM et d’un pesticide, à condition que les organismes officiels ayant autorisé ces produits fassent de même avec le pesticide. »Nous voulons qu’il y ait une contre-expertise et que les données qui leur ont permis de valider ces données, puisqu’ils en sont si sûrs, soient rendues publiques. Après, nous, on rend tout public », a dit le Pr Séralini lors d’une conférence de presse au Parlement européen.