En clôture des Assises de la Bio, le ministre a insisté sur le développement nécessaire de la bio. Pas seulement des surfaces agricoles, qu’il souhaite voir doubler d’ici la fin du quinquennat, mais aussi de la transformation et de la commercialisation des produits bio.
Plutôt que de parler de « plan », ce qui « manque de dynamique », le ministre préfère parler d’une « ambition globale, qui prend en compte toutes les agricultures ». Car, explique-t-il, « il n’y a pas d’un côté le bio, de l’autre l’agriculture conventionnelle, la durabilité doit être partagée par l’ensemble des modes de production ».
Le ministre de l’agriculture a annoncé des tables rondes régionales début 2013, base d’une nouvelle étape pour l’agriculture biologique. » Je veux créer une ambition et pas seulement un plan, il faut avoir une vraie cohérence qui comprend la production, la transformation et la commercialisation « , a expliqué le ministre.
Romy Heisenberg